mardi 27 mars 2012

Presse musicale

Le Constitutionnel regroupe Auguste Morel, Joseph Mainzer, Castil-Blaze (qui vient des Débats entre 1832 et 18734) puis Hippolyte Rolle.

Journal de Paris accueille Goerges Duchesne jusqu'en 1835 puis Joseph d'Ortigue, Auguste Morel et Léon Escudier.
Le Monituer universel accueille les dilettantes sur le théâtre italien Hippolyte Prévost ou Pierre-Ange Vieilard de Boismartin dans une rubrique vague "Spectacles"

National : Louis Desnoyers, le compositeur Joseph Mainzer puis Hippolyte Lucas
La Quotidienne Jean-Toussaint merle, d'Ortigue
Rénovateur Berlioz
Le Temps spécialiste dans un style particulier

succès du Siècle de Dutacq et de La Presse de Girardin avec le rez-de-chaussée du journal qui concurrence le feuilleton

C'est le critique musical, Timothée Trimm alias Léo Lespès, qui est la vedette de la parution en février 1863 du quotidien apolitique Le Petit Journal.

Revue de Paris jusqu'en 1845 et Revue ds Deux Mondes paraissent en 1829. Leur chroniques traitent quelqeu fois de musique, davantage lorsque scudo collabore aux deux monde à partir des années 1850.

Ernest Reyer signe dans la Revue française et l'hebdomadaire L'Athenaeum "journal universel, de la littérature, des sciences et des beaux-arts" avec Nisard, Renan, Horace Viel-Castel entre 1852 et 1856.

Gustave Planche et Théophile Gautier donne à des hommes de lettre les chroniques musicale de la revue L'Artiste qu'ils créent en 1831 (Xavier Aubryet, qui y collabore avec Champfleury, Baudelaire, Banville, Berval, Gautier puis Mallarmé ; la revue La Jeune Fracnce défendra Tannhauser lors du scandale wagnérien)

Le feuilleton musical devient une mode sur toute la presse française. Les quotidiens rivalisent en qualité avec les revues, selon la seule qualité de plume.


Stendhal dans Le Miroir des spectacles défend Rossini contre le professeur et compositeur Henri-Montan Berton dans l'Abeille.
Seul le Corsaire s'impose par la satyre, le ton léger et humoristique dans les petits jourbnaux (L'Album, Le Miroir, La Pandre, Le Corsaire, La Lorgnette, Le Mentor).

des revues apparaissent excluivement liées à un théâtre ou à un acteur.

Revue et gazette des théâtre apparait avec Pommereux sous la Monarchie de Juillet : pas d'articles variés, sur les sujets à la mode, pas de bulletins de succès, appel à des correspondants provinciaux, articles loings et détaillés pa des spécialiste.
Concurrent, organe publicitaire donc le dirigeant veut en faire l'outil du soutien d'administration du théâtre, ne permette aucune attatque, alliant les itnérêts, dirigeant favorablement l'opinion du public : L'Entracte d'Albéric Second (4 pages d'un très grand format : 1 feuille et demie détaille le programme, les acteurs, les chanteurs) puis des nouvelles, annonces et publicités ... ainsi que d'évasives critiques.



Les rpesses théâtrales s'emparent de l'ejeu de la critique musicale : Le Journal des spectacles et le Courrier des spécacles nés ous la Révolution et l'Empire, Le Camp-volant (Restauration) devient Courrier des théâtres.
Plus de 30 journaux de théâtre en 1844 (nombreux sont les duplicatas évitant la censure)

brefs compte-rendus musicaux dansL'Europe artiste créé en 1853 de et par Charles Desolme
Le messsager des théâtres et des arts fondés en 1848 par Auguste Lireux et achille Denis : nombreux critiques (Baudillo, Morel, Boisseaux, Villa ou Ruelles).
finalité commerciale, peu critique
La Presse théâtrale (Giacomelli)
Théâtre (Arthur Pougin)



opuscules parus pour la Querelle des bouffons
Correspondance

1827 : Fétis Revue musicale

mardi 20 mars 2012

langue

plurilinguisme/polylinguisme

tout individu a plusieurs langues -> plusieurs points de vue.
La littérature compose (intention, vision du monde) les langues (pas d'exlution indépendance du personnage/intention de l'auteur qui s'exprime, ou se réfracte par l'humour, l'ironie, la parodie)
La poésie "dabarasse les mots des intentions d'autrui) (Esthéituqe et thoérie du roman, p. 117), donne « un sens plus pur aux mots de la tribu » (Mallarmé)

lundi 12 mars 2012

locution

locuteur (destinateur) = s'adresse à => allocutaire (destinataire)


dire quelquechose c’est toujours au moins :
- faire un acte phonétique : produire du son (l’énonciation est une phonation (phone) ;
- faire un acte phatique : produire des mots appartenant à un vocabulaire construits selon une certaine grammaire avec une certaine intonation ; l’énonciation est l’acte de produire un phème (pheme)
- faire un acte rhétique : employer un pheme dans un sens plus ou moins déterminé et avec une référence (sens et référence réunis constituant la signification) ; l’énonciation est l’acte de produire un rhème (rheme).


acte locutoire : dire quelque chose


acte illocutoire : réaliser un acte de langage (direct ou indirect), action que le locuteur exerce sur l’allocutaire


Fonction perlocutoire du langage, ou un acte perlocutoire, est l'effet psychologique que produit la phrase sur le récepteur.


La classification des actes illocutionnaires proposée par Austin (1962)
Austin en dénombre 5 :


- les "verdictifs" : prononcer un jugement (un verdict) : acquitter, considérer comme, calculer, décrire, analyser, estimer, classer, évaluer, caractériser.
- les "exercitifs" : formuler une décision en faveur ou à l'encontre d'une suite d'actions : ordonner, commander, plaider pour, supplier, recommander, implorer, conseiller, nommer déclarer une séancer ouverte, avertir, proclamer.
- les "commissifs" : ils engagent le locuteur à une suite d'actions déterminée : promettre, faire le vœu de, s'engager par contrat, garantir, jurer, passer une convention, embrasser un parti.
- les "expositifs" : ils sont utilisés pour exposer des conceptions, conduire une argumentation, clarifier l'emploi des mots, assurer les références : affirmer, nier, répondre, objecter, concéder, exemplifier, paraphraser, rapporter des propos.
- les "comportementaux" (behabitives : il s'agit des réactions au comportement des autres, aux événements qui les concernent : s'excuser, remercier, féliciter, souhaiter la bienvenue, critiquer, exprimer des doléances, bénir, maudire, porter un toast, boire à la santer, protester, défier, mettre au défi de.